LE MOT DU PRÉSIDENT DU DIRECTOIRE Laurent FORCHERON
Aujourd’hui, nous partageons le constat que l’environnement évolue beaucoup, de plus en plus vite, et que les attentes de nos clients nous obligent à changer, à penser différemment l’entreprise de demain.
Et encore plus qu’hier, nous devons nous mettre en position client, penser comme le client, se mettre à la place du client.
Un travail a été initié au sein du Groupe ALPENA pour déterminer ensemble, selon nos valeurs, quelle doit être notre vision des années à venir. L’objectif est de progresser encore, de rester parmi les entreprises les plus performantes dans nos secteurs et de permettre au Groupe de poursuivre sa croissance.
Le client a été positionné au cœur de nos réflexions. Nos marques, nos produits ne font plus à eux seuls la différence, c’est la relation que nous entretenons avec notre client, qui fait que nous sommes, ou non, sur la première marche du podium.
Nous devons passer de l’ère de la transaction à celle de la relation.
Dans cette perspective, la vision Groupe prend alors aujourd’hui toute son importance.
En effet, c’est en travaillant en Groupe que nous allons pouvoir faire profiter nos clients de nos richesses. Nous sommes une multitude d’entreprises qui font toutes le même métier, autour du camion, avec les mêmes clients, quasiment les mêmes problématiques. Mais aujourd’hui, nous faisons tout cela de manière beaucoup trop cloisonnée. Evoluer à l’échelle du Groupe c’est offrir à chaque entreprise, la possibilité de profiter des richesses des autres. Parce qu’au bout de la chaîne, c’est le client qui profite de l’ensemble des richesses, des savoir-faire, des compétences et des forces du Groupe.
Et puis le Groupe est un accélérateur certain de notre développement.
Etre un Groupe, nous donne, vis-à-vis de nos clients et de nos partenaires, l’image d’entreprises plus solides, plus fortes pour innover et pour répondre aux évolutions des marchés. C’est un élément rassurant.
En interne, s’appuyer sur l’échelle du Groupe, nous permet de profiter d’une organisation centralisée et de faire évoluer nos pratiques en les dupliquant. Pour cela nous devons travailler ensemble, apprendre les uns des autres. Chacun doit être un acteur, un relai de cette évolution, de cet état d’esprit.